JULIAN MARINO :||: I make girls hysterious and i love that!

Sotto il sole de Napoli.



Prénom(s), Nom : Julian Marino
Date et lieu de naissance :06/10/1985 à Rome
Origine(s) et nationalité(s) :Origines Américo-espagnoles, nationalité Italienne.
Occupation : Photographe




Di tutto di più.



1. Sa fameuse phobie : Eh oui, aussi costaud et grand gaillard puisse-t-il paraître, ce jeune homme a bel et bien peur de quelque chose… Pas du grand loup dans le placard, Ni du monstre qui rôde dans la forêt, mais des abeilles ! Ces êtres dociles et bénéfiques l’être humain provoquent dans l’esprit du jeune homme une frayeur phénoménale, et pas la peine de préciser que dès qu’il en repère une, il s’enfuit en courant, au diable ce que diront les autres. Heureusement qu’aucune de ces bêtes inoffensive n’a surpris Julian avec l’un de ses amis, car il verrait bien ses amis au sens de l’humour trop lourd mettre ça en affiche à l’entrée de l’appartement du jeune homme !


2. Sa plus grande passion : Le 23/11/1991, à Rome, dans une belle et grande maison, du haut de ses 6 ans, un jeune garçon était assis bien sagement dans une des nombreuses chaises disposées dans la cuisine, à regarder sa chère maman confectionner avec amour les plats qu’elle avait prévu de présenter à ses invités de ce soir. Et en tant qu’enfant curieux, l’enfant posait des questions sur tout : Comment le riz était-il devenu aussi bon après avoir été dur ? Comment s’appelait le petit truc vert long disposé sur la crème? Et comment justement, cette crème était-elle devenue aussi onctueuse ? Et étant chanceux d’avoir une mère patiente et aimant partager, elle lui expliquait tout au détail, avec une grande facilité pour que son petit cerveau arrive à comprendre. Et c’est ainsi que, jour après jour, Julian apprenait de nouvelles choses en cette matière, et maintenant, du haut de ses 23 ans, il adore confectionner des plats qu’il faisait goûter à ses amis, tout en prétendant que c’était sa mère qui était venue faire ça pour lui, car il savait très bien que les seules choses que ses potes savaient faire correctement étaient commander une pizza et se moquer des autres, alors il n’essayait même pas d’imaginer ce qu’ils diraient de lui s’ils en venaient à prendre connaissance de sa passion pour la cuisine.


3. Son meilleur ami : Vous trouverez surement ça idiot, mais le beau Julian avait encore son doudou à 14 ans ! Ses parents s’étaient séparés alors qu’il n’avait que 10 ans, alors, entre tribunal et déménagement, ses parents n’avaient pas vraiment le temps de s’occuper de lui, il choisit alors un ami imaginaire, mais qui ne le laisserait surtout pas tomber, chose normale puisqu’il en était le propriétaire xD Bref, après une bonne année de vie pas très stable, il finit chez sa mère, qui maintenant travaillait un peu plus pour avoir assez d’argent pour combler les frais de ses cours de danse moderne, de natation et de peinture, et même si le jeune homme n’aimait pas vraiment ces « trucs », il le faisait pour le plaisir de sa mère, à laquelle il préféra de continuer à cacher ses peines dans son antre secrète, chez le meilleur ami le plus fidèle qu’on puisse avoir, son petit nounours en peluche auquel il donnait une âme provenant de son imagination, mais qui lui plaisait bien, puisqu’elle reflétait tout ce qu’il aimerait que son ami soit. Désormais, il n’en n’a surement plus besoin, mais il le garde en souvenir de son enfance et du début de son adolescence, qui furent assez douloureux à vivre pour lui.


4. Son confident : Un journal intime, c’est pour les filles ? Que nenni ! Pour preuve, Julian en avait un ! Mais bon, ce n’est pas pour faire différent ou pour copier sa grande sœur qu’il l’avait fait, surtout que c’était secret donc pas de popularité en vue, mais plutôt parce que, quand il abandonna son ours en peluche, se jugeant trop grand pour se confier à un jouet, il ressentit un grand vide dans sa vie, et surtout un gros poids sur son cœur. C’est qu’il était tellement habitué à remplir son temps à parler de tout et de rien à son ex-meilleur ami, qu’il n’avait plus rien à foutre pendant des heures, et le poids de tous ses problème se regroupa sur son cœur, et il fallait absolument qu’il s’en débarrasse, c’est pourquoi il décida d’écrire son journal intime, ainsi il pouvait garder ses souvenirs pendant longtemps, les revivre quand il voulait, et il pouvait reprendre sa joie de vivre après avoir vidé sa tête de tout ce qui la tourmentait.


5. Son surnom : Juju… Si je peux vous donner un conseil, ne prononcez jamais ce surnom devant Julian, même s’il ne lui est pas adressé, car ces 4 lettres l’avaient bien complexé pendant sa petite enfance. C’était un Lundi, le premier jour du beau gamin à l’école, et il en était bien content. Il avait eu tout ce qu’il voulait pour accepter d’y aller, sa mère l’accompagner jusqu’à la classe, il y avait un grand jardin dans l’établissement et un magasin de bonbons juste à côté, chez lequel il entrainerait bien souvent sa mère en sortant. Seulement voilà, comme cette horrible vie ne laissait jamais quelqu’un vivre sa joie tranquillement, sa mère, à la porte de la classe, l’embrassa sur le front et lui dit, tout haut : « A plus tard, Juju ». Ces mots ne résonnèrent que quelques secondes dans la tête du garçon qui se mit à rougir tout en trainant ses pieds à la première chaise vide où il s’assit, évitant de regarder dans les yeux tous ces enfants qui riaient de bon cœur, mais il ne pouvait pas leur en vouloir, lui-même trouvait ça ridicule comme surnom ! Mais voilà, ce n’est pas ça, le surnom dont je parlais, c’est que au fur et à mesure que les secondes passaient, le visage ovale de Julian virait au rouge et comme pour couronner le tout, une fille lui dit, sans faire un effort de discrétion : « Tu ressembles à une tomate, quand tu rougis ! » Et c’est ainsi qu’il fut rebaptisé « la tomate » pendant toute l’école primaire, et ce ne fut pas la chose qui lui plut le plus en ces années de son enfance.


6. Sa manie : Ronger vos ongles, vous avez tous fait ça à un certain âge ! Non ? Allez ne mentez pas, je sais que 1/50 des jeunes de 6 à 13 ans le font, et justement, Julian est le un qui sort des 10. Il adore ses ongles, t prête de plus grand soin possible pour un mec… Ok, il ne se fait pas une french manucure, mais impossible de le voir un jour avec les ongles coupés n’importe comment, ou avec le blanc qui vire au marron, et ceci était surtout un atout, car les filles maniaques de la propreté étaient servies, et quant aux autres, elles trouvaient ça joli, ça ne faisait pas fille, mais c’était simplement joli à voir, et ce n’était pas pour déplaire au brun qui avait tendance à déposer ses mains sur la table justement pour que la fille remarque ses beau ongles, et ça lui apportait bien du succès, apparemment.


7. Son agressivité excessive : Vous entendez une grande foule discuter à haute voix, des coups de poings ou des cris, et vous êtes bien dans votre chambre à écouter de la musique pendant le temps libre de votre vie chargée dans la belle ville qu’est Napoli ? Ne [/font]vous pressez pas pour aller tendre votre coup à travers la fenêtre et essayer de déchiffrer ce que les gens qui sont autour des illustrateurs de l’évènement disent, c’est surement Julian qui est la cause de tout ce boucan ! Jaloux, protecteur et perfectionniste, il prend trop au sérieux son rôle de petit ami,
d’ami ou de fils, la preuve, dès que quelqu’un drague sa mère qui atteint à peine la trentaine, ou essaie de provoquer son meilleur ami, ou pire, touche à un seul cheveu de sa petite amie alors qu’elle se déchaine en boîte, il ne contrôle plus ses nerfs, il ne reprend sa respiration normale qu’après avoir foutu au moins un bon coup de poing bien placé au malin qui essaye de toucher au petit entourage du beau brun. Vous trouvez ça exagéré ? Ben vous n’êtes surement pas des mecs, et surtout pas Julian, alors chuut, car vous ne savez pas la bouillie qui nait dans la tête du jeune homme en voyant ce genre de comportements dont les victimes sont ses proches.


¤ Répondez à cette question : Qu'est-ce que, pour vous, la Dolce Vita ?



Citation :

La Dolce Vita ? Ah ! L’hymne à la vie, une source d’inspiration, la joie de vivre, le bonheur de l’insouciance, la vie quoi ! Pour moi, Dolce vita, c’est un mode de vie, qui consiste à se faire plaisir avant tout, et c’est surement pour ça que Julian choisit de devenir photographe. Etre bien dans sa vie, c’est la meilleure chose que l’on peut ressentir pendant notre courte vie, alors pourquoi se priver de bonheur alors qu’il est entre nos mains ? Pour conclure, je dirais que Dolce Vita, c’est l’art de vivre sereinement !

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Ferite sulla sabbia.

«Toute une histoire !»

-JULIAN ! Nom de dieu enlève-moi ces pieds sales de cette table !
-Mais je viens de les laver, m’man !
-Eh bien ce n’est pas une raison ! Tu enlève tes pieds de cette table ou je viens te mettre les glaçons que j’ai aux mains dessus, t’as le choix !
-T’oseras jamais, Na !
-Tu vas voir ce que ça coûte, de jouer au malin avec sa mère !

Elle sortit à toute vitesse de sa cuisine américaine avant de commencer à courir après son ado de 16 ans qui maintenant traversait le salon à quatrième vitesse, pour enfin monter les escaliers et afficher un sourire triomphant en voyant sa mère revenir d’où elle est venue car les glaçons étaient trop froids pour ses mains fragiles. Néanmoins, elle leva les yeux vers son fils, lui jetant un regard noir, ayant enfin les mains délivrées, elle dit, d’un ton injurieux :

-Refais ça et je mets de l’eau bouillante dans le ton lit, tu verras comment tu afficheras ce sourire malin, à ce moment là !

Le beau brun, en tant que gentil petit garçon, vient prendre sa mère dans ses bras de derrière, avant de dire, d’un ton amusé, comme à son habitude :

-Tu feras ça si tu ne fais pas une crise cardiaque en voyant ça !

Il délivra un serpent en plastoc qu’il cachait dans sa poignée, mais que sa mère prit pendant une fraction de seconde pour un vrai, laissant échapper de sa fine bouche un son aigu reflétant sa grande frayeur, avant de dire, s’étant rendu compte de la farce dont elle venait d’être victime par excellence :

-Ton sens de l’humour pourri, tu l’as hérité de moi, la preuve…

Elle prit un des glaçons qu’elle avait posé tout à l’heure dans sa cuisine, pour le glisser dans le t-shirt de son fils, qui maintenant criait et sautait dans tous les sens, avant de s’arrêter pour contempler le sourire malin de sa chère mère, et dire :

-Je t’aurais, oh que je t’aurais, maligne ! Tôt ou tard, je t’aurais !

Il repartit alors au salon, mécontent d’entendre sa maman lâcher un grand rire presque maléfique, qui reflétait le sens de la satisfaction qu’elle ressentait, et qui ne faisait pas le grand bonheur de son fils, mais quoi, c’était comme ça, la vie chez les Marinos, pleine de fou-rires et de mécontentements qui finissaient vite par disparaître grâce à la bonne humeur qui régnait entre les deux jeunes gens ! Julian se jeta alors sur le canapé, veillant à mettre les pieds bien au centre de la table en verre du salon, justement pour se venger de la jeune femme avec qui il a vécu toute sa vie, et commencer à zapper les chaines, jusqu’à ce qu’il tombe sur un programme porno, qu’il zappa bien sûr, mais qui fut la raison de la création d’une nouvelle discussion plus sérieuse, mais qui amusait toujours autant l’italien.

-Ca ne te manque pas, depuis le temps ?
-Quoi ?
-Arrête de faire l’idiote avec moi, je n’ai plus 6 ans !
-Ben… Non ça ne me manque pas… heuu… je pense…
-Je suis ton fils, je suis pas ton père ! Ton amoureux, tu comptes l’emmener un jour ? Car si oui, ben je vais dormir chez un copain ou je sais pas quoi !
-Ah que non ! Hors de question ! Je ne veux surtout pas te retrouver saoul devant ma porte, à 4h du mat’, à griffer le bois de l’entrée ! Tant que tu n’as pas 18 ans, c’est ici et nulle part autre que tu dormiras !
-Mais m’man, c’était une boum, et je n’avais que 14 ans, et en plus ça arrive à tout le monde, de perdre le contrôle !
-Indiscutablement non !
-Bon, ok, tu résisteras alors aux beaux muscles de Roberto pendant deux autres bonnes années !
-Eh non, c’est fait pourquoi, les baby-sitters ? Je crois que la voisine retraitée en ferait une merveilleuse !
-T’es pas juste, m’man !
-Je t’aime aussi, mon enfant !
-T’es chiante !
-Je t’entends, mon poussin !
-Tant mieux, parce que je le pense !
-Je sais autant que toi que c’est faut, ma tarte au chocolat !
La jeune femme s’approcha de son enfant pour déposer un baiser sur son front, amusée par la mine fâchée qu’adoptait celui-ci, une fois de plus, elle avait gagné ! Il ne trouvait surement pas ça juste, mais elle s’en fichait, car quand c’est lui qui gagne, il en profitait amplement, alors pourquoi se priver de triomphe, pour une fois qu’elle y avait le droit ? C’était tellement amusant pour la trentenaire de s’occuper de son fils que c’était
devenu son loisir favori, et ce n’était pas l’étudiant qui le nierait. Depuis qu’elle est divorcée de son père, il ne l’a plus revu, et ce n’était pas la chose la plus déplaisante qui soit arrivée dans sa vie, car devoir supporter la vue d’un ivrogne frapper violemment sa chère mère, croyez-moi, ce n’était pas une partie de plaisir, ça avait eu une influence grave sur la stabilité de la psychologie de l’enfant, qui chercha alors à se réfugier chez la personne la
plus proche de lui, sa mère, et si on lui demandait de refaire un choix, il serait surement identique, sa vie était si sereine avec sa mère ! En parlant de sa mère, comme si ça deux belles victoires ne lui suffisaient pas, elle était maintenant en train de faire mine d’appeler la voisine, ce qui mit encore plus en colère le brun, qui lâcha cette fois, laissant accentuer son ton une pointe de rage :

-Tu es pénible ! J’ai 16 ans et j’ai même pas le droit de sortir 2h sans te donner de nouvelles, je ne serai plus ton fils-fils pourri-gâté dans 2 ans, je te signale !

Et sans laisser à sa mère une chance de s’exprimer, il dévala les escaliers à grande vitesse, pour faire entendre bien haut le claquement de la porte de sa chambre. Et dire qu’ils ne parlaient que d’amour, voilà que c’est devenu toute une histoire !




Mia dolce vita.



Pseudonyme :__*D E T E R M .ii. N E D
Age : 18 ans
Avatar : Dave Annable
Où avez-vous connu Dolce Vita : Bazzart <3
Commentaires : Le titre du forum n’est pas super clair, faut sélectionner pour le voir, sinon superbe design <3

Chaaaaaaaace
Je veux un lien ("amoureux", si c'est possible et surtout si tu veux ^^)
J'ai même pas attendu pour choisir mon avatar
Si tu veux pas c'est pas grave du tout

Welcoome;

T'a raison, j'arrête

Mais Chace quoi *déjà parti loin*

La hoonte j'suis passé pour une accro hystérique, ce que je ne suis paas

Tout est possible dans la vie... Il se peut que je fiche tout au mur et que j'aille chercher quelqu'un d'autre
En tout cas merci pour l'acceuil... Excité xD ---->[]

Hého moi pas excité.
Je vais trouver un autre gendre tiens

Euuh je crois avoir compris, mais j'ai du pas comprend XD

Désolée =S Comme j'ai vu que les avatars n'étaient pas réservés, j'ai cru que c'était le pemier qui finissait qui avait le rôle [comme quoi quand on est idiot, ça ne change jamais ]
Bref, j'ai pris un autre perso, j'ai presque fini ma présent'

PS: J'adore les smileys

Serais-ce mon Julian Marino ?
Tu a bien compris le scénario et tout et tout ?

Voilà j'espère que c'est comme ça
Et oui, c'est ton Julian, et justement, j'ai compris leur lien, mais il faut comme même mettre le point sur 2 3 trucs

Tu a raison
Tu me mpotte ?